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Chronique du combat d'Ath, 13 Juin 1815, pendant la campagne de belgique 1815

En ce 13 juin 1815, l'armée française est en Belgique afin de vaincre les armées britanniques et prussiennes avant l'arrivée de leurs alliés. Les français, marchant sur plusieurs routes convergent vers la petite ville d'Ath ou se trouve le corps anglais du général Hill.

Il est 11h quand débouche sur le champ de bataille la première division française du corps de Mouton précédée de la cavalerie de la garde. L'empereur est présent.

Coté anglais, deux brigades de cavalerie sont déployées de chaque coté de la route une proche du village de brugnelette, l'autre prés du village de chièvre. Les français s'avancent couverts par la cavalerie. Alors qu'une autre division française arrive sur place, la cavalerie anglaise entame une retraite en bon ordre. Le comte de Lobau voyant que ce mouvement les écartent de la route fait marcher les deux premières divisions en colonne de route et dépasse ainsi la cavalerie anglaise impuissante. Une troisième division arrive sur place et se place derrière la cavalerie légère de la garde.

Pendant ce temps le maréchal Ney, arrivé sur le champ de bataille par l'est et voyant les ponts sur la rivière brisés, décide de remonter vers le nord pour contourner l'obstacle.

La brigade de cavalerie anglaise qui était à Brugnelette continue son repli mais la brigade encore proche de Chièvre s'avance pour menacer la route et empêcher l'avance rapide des colonnes de routes françaises.

Il est 13h, la première division française se déploie hors de portée de l'artillerie anglaise face au village de Maffles. Pendant ce temps la deuxième division déborde le village d'arbre suivi d'un peu plus loin par la troisième division et l'artillerie. Ceux-ci sont alors couverts par la cavalerie de la garde qui fait face à la division. Le général Mouton est alors au coté de l'empereur et nous a fait part de l'étonnement de celui-ci en voyant arriver les nombreux renforts anglais venant de l'est? Diable, il est vrai que cet aristocrate anglais est très réactif

Alors que la cavalerie anglaise continue son repli vers le village d'Atre, le général Britannique coupé du reste de l'armée décide de tenter sa chance face à la cavalerie française. Ils s'élancent à la charge. Le choc est terrible ! Les cavaliers anglais se sentant un peu seul, voyant les colonnes françaises sur leurs arrières se battent avec rage et finalement les cavaliers français finissent par lâcher prise et se retirent au loin dans le plus grand désordre. Les cavaliers anglais fatigués mais galvanisés par leur exploit continuent et prennent pour cible l'artillerie à cheval de la garde encore attelée mais celle-ci s'esquive et évite le choc.

La garde à pied, la cavalerie lourde de la garde et les cuirassiers arrivent alors sur place. Le déploiement du 6ème corps se poursuit, la deuxième division, rejointe par la troisième, se forme dans la plaine face aux troupes anglaises maintenant déployées. Ceux-ci couvrent à présent une arrivée de renfort quasi continue. Il y a la les hommes du duc de Brunswick, les hollando belges de Perponcher. L'artillerie de réserve se rapprochant du village d'Arbre, la garnison de celui-ci décident de fuir et de rejoindre le reste de la division anglaise avant de subir un pilonnage en règle. La brigade avancée tente maintenant reculer face l'arrivée des nombreux renforts français. Lefebvre Desnoëtte après avoir vertement semoncé ses hommes ramène l'ordre dans sa division et part à la poursuite de la brigade de l'ennemi qui en se repliant pourrait menacer l'arrière des divisions du 6ème corps.

Le corps du comte de Lobau continue son mouvement sur Maffles et finit de se positionner dans la plaine. L'artillerie anglaise positionnée dans ce village tire sans discontinuer sur les français qui s'avancent. La réserve française s'avance doucement pour rejoindre les troupes du 6è corps avancées. Cependant, alors qu'arrive l'artillerie française et que les colonnes française se mettent en position pour l'assaut, la garnison décide de fuir pour rejoindre le gros des troupes prés d'Ath, elle est accompagnée par les artilleurs qui laissent leurs pièces sur place.

Les français entre alors dans le village sans résistance, l'artillerie se déploie un peu plus loin et prend pour cible la brigade anglaise placé derrière le village, prête à soutenir la garnison qui a fui. Pendant ce temps, à l'est du champ de bataille la cavalerie légère de la garde voyant les cuirs prêts à s'élancer le général Lefebvre Desnoëtte enlève ses hommes avec ces mots ? va-t-on laisser les gros talons écraser cette maudite brigade seuls ? Non ! Allons laver notre honneur dans le sang anglais !

Les cavaliers anglais qui jusque là se repliaient en bon ordre subissent le choc de la cavalerie de la garde déchainée, voyant de plus les cuirassiers les chargeant, ils fuient le combat et ne s'arrêteront qu'une fois leur lignes réintégrées. Le général a son cheval tué sous lui et manque d'être capturé.

Prés de Maffles, après quelques tirs de réglages l'artillerie française fait maintenant régner la mort dans les rangs de la brigade anglaise isolée devant ses lignes. C'est alors que la brigade ayant pris possession de Maffles sort et profite du désarroi des anglais pour les charger. La brigade anglaise déjà affaiblie explose sous le choc. Ce fait d'arme clôture la journée.

Jules Ferry,

correspondant de guerre pour l'Oracle le 13 juin 1815

Bulletin de l'Armée

La bataille d'ATH

Le 13 juin, le corps du général Hill a retraité de la ville de Leuze jusqu'à la ville de Ath. Le prince de la moskowa, ainsi que les troupes du général comte d'erlon, devant la destruction systématique des ponts par les anglais se sont porté sur la ville de Papignies.

L'empereur se portant au soutien du prince de la moskowa à la tête de la division légère de la garde, et du corps du général Mouton, a autorisé celui-ci à attaquer les positions anglaises des 13h.

Coté anglais, deux brigades de cavalerie sont déployées de chaque coté de la route une proche du village de brugnelette, l'autre prés du village de chièvre. Les français s'avancent couverts par la cavalerie. Alors qu'une autre division française arrive sur place, la cavalerie anglaise entame une retraite en bon ordre. Le comte de Lobau voyant que ce mouvement les écarte de la route fait marcher les deux premières divisions en colonne de route et dépasse ainsi la cavalerie anglaise impuissante. Une troisième division arrive sur place et se place derrière la cavalerie légère de la garde.

Il est 13h, la première division française se déploie hors de portée de l'artillerie anglaise face au village de Maffles. Pendant ce temps la deuxième division déborde le village d'arbre suivi d'un peu plus loin par la troisième division et l'artillerie. Ceux-ci sont alors couverts par la cavalerie de la garde qui fait face à la division anglaise.

Alors que la cavalerie anglaise continue son repli vers le village d'Atre, la garde à pied, la cavalerie lourde de la garde et les cuirassiers arrivent alors sur place.

Le déploiement du 6ème corps se poursuit, la deuxième division, rejointe par la troisième, se forme dans la plaine face aux troupes anglaises maintenant déployées. Ceux-ci couvrent à présent une arrivée de renfort quasi continue. Il y a la les hommes du duc de Brunswick, les hollando belges de Perponcher. L'artillerie de réserve se rapprochant du village d'Arbre, la garnison de celui-ci décident de fuir et de rejoindre le reste de la division anglaise avant de subir un pilonnage en règle. La brigade avancée tente maintenant reculer face l'arrivée des nombreux renforts français.

Le corps du comte de Lobau continue son mouvement sur Maffles et finit de se positionner dans la plaine. L'artillerie anglaise positionnée dans ce village tire sans discontinuer sur les français qui s'avancent. La réserve française s'avance doucement pour rejoindre les troupes du 6ème corps avancées. Cependant, alors qu'arrive l'artillerie française et que les colonnes françaises se mettent en position pour l'assaut, la garnison décide de fuir pour rejoindre le gros des troupes prés d'Ath, elle est accompagnée par les artilleurs qui laissent leurs pièces sur place.

Les français entre alors dans le village sans résistance, l'artillerie se déploie un peu plus loin et prend pour cible la brigade anglaise placé derrière le village, prête à soutenir la garnison qui a fui. Pendant ce temps, à l'est du champ de bataille la cavalerie légère de la garde voyant les cuirs prêts à s'élancer le général Lefebvre Desnoëtte enlève ses hommes avec ces mots ? va-t-on laisser les gros talons écraser cette maudite brigade seuls ? Non ! Allons laver notre honneur dans le sang anglais !

Les cavaliers anglais qui jusque là se repliaient en bon ordre subissent le choc de la cavalerie de la garde déchainée, voyant de plus les cuirassiers les chargeant, ils fuient le combat et ne s'arrêteront qu'une fois leur lignes réintégrées. Le général a son cheval tué sous lui et manque d'être capturé.

Prés de Maffles, après quelques tirs de réglages l'artillerie française fait maintenant régner la mort dans les rangs de la brigade anglaise isolée devant ses lignes. C'est alors que la brigade ayant pris possession de Maffles sort et profite du désarroi des anglais pour les charger. La brigade anglaise déjà affaiblie explose sous le choc. Ce fait d'arme clôture la journée.

L'empereur a marché avec sa garde à cheval et a été satisfait du bon esprit que la garde a montré. La santé de l'empereur n'a jamais été meilleure.

L'armée anglaise a perdu 2000h dont 1200 prisonniers, une batterie pour des pertes très légères dans le corps du comte de lobau. L'armée anglaise a été secouée, et le duc wellington a ordonné une retraite durant la nuit pour traverser le pont de Lessines.

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